Archives pour la catégorie Mots zen

Poème pour peindre la girafe

Montez sur une grande échelle

et attendez le passage de la Demoiselle

tendez bien haut une grande carafe

et à son approche laissez la boire à volonté

vous en serez récompensé

la Demoiselle apprivoisée

vous pourrez la caresser

saisissez vos pinceaux votre gouache et vos crayons

et de grandes tâches vous tracerez tout en rond

voilà la Demoiselle prête à entrer dans votre carton

Christiane LAMANDA

Joyeux Noël !

En cette fin d’année, je vous souhaite

de joyeuses fêtes de fin d’année !

Qu’elles vous soient douces, inspirées, spirituelles

et surtout partagées avec ceux qui vous sont les plus chers.

Une pensée aux plus démunis, aux personnes seules et isolées ;

en leur souhaitant tout l’espoir nécessaire.

Joyeux Noël !

Nedeleg Laouen !

Avez-vous trouvé votre Ikigaï ?

 

 

 

 

 

 

 

En japonais, Iki siginie « la vie » et Gaï, « la réalisation de ce que l’on attend, de ce que l’on espère ».

Vivre en accord avec soi.

Ikigaï, c’est donc réaliser ce que l’on attend de la vie,  c’est notre « raison d’être ».

Les japonais ont donc une philosophie pour déterminer leurs objectifs de vie, le « pourquoi », ils se lèvent le matin. Selon eux, vivre en accord avec sa raison d’être permet de vivre zen et épanoui.

Et vous, avez-vous trouvé votre Ikigaï ?

N’hésitez pas à partager votre philosophie ! Vous êtes les bienvenus sur ce blog.

Le Bonheur ne se trouve pas avec effort et volonté,
Mais réside là, tout proche,
Dans la détente et l’abandon.
Ne sois pas inquiet, il n’y a rien à faire.
Tout ce qui s’élève dans l’esprit n’a aucune importance,
Parce que dépourvu de toute réalité.
Ne t’attache pas aux pensées, ne les juge pas.
Laisse le jeu de l’esprit se faire tout seul,
S’élever et retomber, sans intervenir.
Tout s’évanouit et recommence à nouveau, sans cesse.
Cette quête même du bonheur est ce qui t’empêche de le trouver.
Comme un arc-en-ciel qu’on poursuit sans jamais le rattraper.
Parce qu’il n’existe pas, parce qu’il a toujours été là,
Et parce qu’il t’accompagne à chaque instant.
Ne crois pas à la réalité des choses bonnes ou mauvaises,
Elles sont semblables aux arcs-en-ciel.
A vouloir saisir l’insaisissable, on s’épuise en vain.
Dès lors qu’on relâche cette saisie, l’espace est là,
Ouvert, hospitalier, et confortable.
Alors jouis-en.
Ne cherche plus.
Tout est déjà tien.
A quoi bon aller traquer dans la jungle inextricable,
L’éléphant qui demeure tranquillement chez lui.
Cesse de faire.
Cesse de forcer.
Cesse de vouloir.
Et tout se trouvera accompli,
Naturellement.

Guendune Rinpoché